REUSSITE DE LA TRANSITION: Pourquoi il faut maintenir Choguel !
Après les décisions fortes du 09 janvier 2022, qui prévoyaient visiblement la chute du Mali, ou le remariage avec la France, les oiseaux de mauvais augure ne semblent pas encore eu gain de cause. Il s’agira désormais de changement de méthode pour passer par les proches du Premier ministre, notamment les alliés du M5-RFP, pour atteindre la cible.
Les nouveaux missionnaires de la France, de la Cedeao et l’Uemoa sont désormais activés au Mali. C’est parti depuis le weekend dernier, à travers l’ouverture de bal, par le Parena de Tiébilé Dramé et ses amis comme Ras Bath, qui seront dorénavant les pyromanes politiques, teneurs du flambeau pour passer le pays à la France. Ils veulent certainement maintenir la pression sur le colonel Assimi Goïta pour limoger son Premier ministre. Pour réussir ce coup, un démon de la division a été au sein du comité stratégique. C’est pourquoi, depuis quelques jours, les noms de certaines personnalités politiques avec des intentions déjà connues circulent sur les réseaux sociaux. Des individus supposés décider à combattre leur allié du 5 juin 2020. Si cette information se confirme, le Premier ministre Choguel K. Maïga doit dormir à point fermé. Car, il n’en est rien. Ces éléments en perte de crédibilité, qui ont par le passé perdu la confiance du peuple en montrant déjà leurs limites, ne peuvent rien. Ils n’ont que leur bouche et leur seule personne car ne pouvant aucunement mobiliser des gens. Cependant, le président Assimi Goïta doit s’atteler à exécuter ses projets de réformes et développement pour le Mali. Les ennemis de la nation qui s’impatientent, scandent des élections nuit et jour. Pour les observateurs avertis de la situation politique du pays, tous les mouvements de contestations de ces derniers jours relèvent d’une conspiration politique, une cabale que préparent certains impatients d’un chronogramme d’élections. Cependant, il convient de rappeler aux autorités politiques que le peuple aussi paye toujours les conséquences des sanctions économiques qui ont duré plus de deux mois déjà. Un chronogramme raisonnable est actuellement nécessaire pour soulager les Maliens des séquelles de ces sanctions.
Dramane Siaka